Dans le cadre du nouveau projet fédéral qui vise à regrouper au sein d’une seule et même structure les gymnastes masculins français identifiés “Paris 2024”, l’INSEP accueille huit nouveaux arrivants en ce lundi 5 septembre, synonyme de rentrée et de mise en place du nouveau projet fédéral.

Ils sont huit à avoir posé leurs valises à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (INSEP) en ce début du mois de septembre après avoir quitté leur structure respective :
- Loris Frasca, en provenance du pôle d’Antibes
- Léo Saladino, en provenance du pôle d’Antibes
- Benjamin Osberger, en provenance du pôle d’Antibes
- Mathias Philippe, en provenance du pôle de Lyon
- Cameron-Lie Bernard, en provenance de La Sottevillaise
- Kevin Carvalho, en provenance du pôle de Montceau-Les-Mines
- Edgar Boulet, en provenance du club d’Orléans
- Zachari Hrimèche, en provenance du club de Vélizy
Ces huit gymnastes rejoignent les gymnastes déjà présents sur la structure, à savoir Paul Degouy, Axel Augis, Jim Zona, Lucas Desanges, tous les 4 identifiés dans le projet olympique, Mathys Cordule, Killian Mermet, Arthur Ballon, Alexis Blin, Victor Bardou, Nicolas Diez et Tom Minn.
Comme annoncé précédemment dans nos colonnes par le sélectionneur de l’équipe de France Vitaly Marinitch (lire ici), les 12 gymnastes identifiés CPO s’entraîneront à des heures différentes de ceux non identifiés CPO, les gymnastes étant en effet répartis en deux groupes selon leur appartenance ou non au projet olympique. À noter que les groupes peuvent évoluer en fonction des résultats de chacun.
Samir Aït Saïd, Julien Saleur et Cyril Tommasone ne sont pas concernés par ce regroupement au sein de l’INSEP du fait de leur situation familiale et professionnelle. Julien Maréchal (pôle de la Madeleine) et Bastien Eloy (pôle de Montceau-Les-Mines) ont quant à eux décidé de ne pas rejoindre l’INSEP.
Chez les féminines, le projet fédéral vise à regrouper les gymnastes identifiées “Paris 2024” au sein de deux structures, l’INSEP ou Saint-Etienne. Mais pour l’heure et en raison de divergences, le projet tarde à se mettre en place.