
Membre de l’équipe de France aux Jeux Olympiques de Pékin, en 2008, à tout juste 15 ans, médaillée de bronze par équipes lors des championnats d’Europe de Clermont-Ferrand quelques mois plus tôt et championne de France à plusieurs reprises, Marine Petit était l’une des révélations de la gymnastique française à la fin des années 2000. Par son talent, sa détermination et sa motivation à progresser toujours plus, elle a une carrière chargée de moments intenses. Mais son corps l’aura finalement poussée à mettre un terme prématurée à sa carrière, à quelques mois des Jeux Olympiques de Londres, en 2012. Alors qu’elle s’était relevée d’une blessure à l’épaule en 2009, cette blessure au genou, contractée en octobre 2011, sonnera le gong de fin. Sept ans après sa retraite sportive, que devient-elle ? Prenons de ses nouvelles.
Gym and News : Depuis ton arrêt du haut-niveau en 2011, que deviens-tu ?
Marine Petit : Je suis étudiante en Master 2 du management du sport et je reviens d’un séjour d’un an en Australie. Après mon Master 1, j’ai eu envie de faire une pause et nous sommes parties avec quelques amis en Australie avec l’idée de trouver du travail une fois sur place. J’ai découvert qu’un club de gym cherchait un entraîneur à Melbourne alors j’ai tenté ma chance et j’ai été prise. C’était une chouette expérience et humainement enrichissant. Ils laissent leur chance à tout le monde là-bas et le cadre de vie est vraiment exceptionnel ! Ce voyage m’a vraiment plu. Je suis revenue en France à la rentrée et j’ai repris mon Master 2 mais je ne ferme pas la porte à un possible avenir en tant que coach… Je laisse passer l’année et je verrai à ce moment-là.
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