Ancienne membre de l’équipe de France espoir et junior passée par le pôle de Dijon et l’INSEP, Alisson Lapp était au rendez-vous lors des Championnats de France élite, qu’elle a abordés différemment. Entre ambiance conviviale et clin d’œil à ses années juniors, elle a marqué les esprits en ressortant son sol emblématique qu’elle avait présenté aux Championnats d’Europe juniors en 2016, à Bern. Comment a-t-elle vécu la compétition ? Et quels sont ses projets en matière de gymnastique et professionnels ? Entretien.

Spot Gym : Tu viens de participer aux championnats de France élite, comment as-tu vécu la compétition et qu’as-tu ressenti à l’idée d’y participer à nouveau ?
Alisson Lapp : Je l’ai plutôt bien vécu ! Malheureusement j’étais malade donc ce n’était pas le meilleur moment de ma vie mais c’était chouette et j’en ai bien profité. Il y avait une super bonne ambiance avec les filles mais aussi avec le staff. Le fait qu’il y ait des filles de clubs et aussi des filles de pôles a permis à tout le monde de se sentir à sa place, c’était cool.
C’est vrai que la bonne ambiance s’est ressentie, avec beaucoup de soutien entre les gymnastes…
C’était assez intimiste comme cadre selon moi, ça faisait très “compet’ entre copines”, alors que pourtant je ne m’entraine avec aucune d’entre elles, mais c’était très chaleureux et amicale comme ambiance.
Tu as également eu l’occasion de retrouver les filles que tu as côtoyées lorsque tu étais dans le haut-niveau, c’était agréable aussi ?
Oui c’était super chouette ! L’année dernière, je venais tout juste de réintégrer le circuit élite, et j’avais ce sentiment, entre guillemets, de ne pas être totalement à la place. Cette année, je n’ai pas du tout eu cette sensation. Cela tient peut-être aussi au fait qu’il y avait davantage de gymnastes issues des clubs et que j’avais eu l’occasion de revoir la plupart des filles sur les Top 12 aussi, mais quoiqu’il en soit, j’ai vraiment pu profiter du moment. L’ambiance était super et c’était un vrai plaisir de partager tous ces moments ensemble.
Où t’entraines-tu au quotidien ?
La plupart du temps je m’entraîne encore à mon club Gym Concordia, à Schiltigheim, parce que c’est ce qui est le plus près pour moi. Et sinon, je m’entraîne aussi ponctuellement à Haguenau et à Noisy-Le-Grand pour profiter de leur agrès parce qu’à Schiltigheim, on n’a pas un très bon sol et saut.
Entre les études supérieures et les entraînements, à quoi ressemble ton rythme d’entrainement ?
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