Paris 2024 : Lourde chute de Marine Boyer quelques minutes avant le début des qualifications

Selon une information de Ouest France confirmée ensuite par la Fédération française de gymnastique, Marine Boyer a violemment chuté sur le dos à l’échauffement des barres asymétriques quelques minutes avant l’entrée en compétition. Une chute qui aurait perturbé le reste de l’équipe.

L’évaluation médicale immédiate lui a permis de faire sa compétition et les examens réalisés à l’issue de la compétition se sont montrés rassurants, indique la Fédération française de gymnastique dans un communiqué.

Si les gymnastes ne veulent pas se cacher derrière cet incident pour expliquer leur onzième place lors des qualifications pour la finale équipe, il mérite toutefois de le prendre en considération, les Bleues ayant montré un visage qu’elles n’ont pas l’habitude de montrer, étant beaucoup sur la retenue, comme paralysées et engluées dans une spirale dont elles ne parvenaient pas sortir. Un coup dur qui a (logiquement) affecté l’ensemble du clan tricolore, la participation de Marine Boyer étant un temps incertaine, rendant cette soirée du 28 juillet 2024 “cauchemardesque“, comme l’a expliqué le DTN Kévinn Rabaud à l’issue de la soirée.

Paradoxalement, Marine Boyer, qui est entrée dans l’histoire de la gymnastique en devenant la première Française à participer à trois Jeux Olympiques, est celle qui a été la plus solide sur ces Jeux Olympiques de Paris 2024. Aux alentours de minuit, après avoir passé les examens nécessaires dans le cadre du protocole de commotion cérébrale, la capitaine des Bleues a posté une photo en story Instagram indiquant : « I’m ok ».

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1 COMMENTAIRE

  1. Ming a été magnifique. Certes ses programmes sont souvent moins complexes mais propres et son sol ! Mais quelle force ! Quelle vitesse !
    Accrochons nous au positif et réfléchissez quand même à la fédération car il y a des soucis dans le préparation des filles et dans tous les degrés depuis les 7-9 ans aux olympiennes en passant par les sélections en pole. et le financement des années de pôles.

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