Souvenirs de Jeux avec Ludivine Furnon : “Le bonheur d’être aux JO est indescriptible”

D’Atlanta en 1996, à Sydney en 2000, Ludivine Furnon a disputé deux Jeux Olympiques. Deux expériences très contrastées. Si Atlanta représentait, à 15 ans, la découverte du plus haut niveau, Sydney, quatre ans plus tard, aurait dû être l’apogée de sa carrière. Une blessure au métatarse en a décidé autrement. Après Oréane Lechenault, Benoît Caranobe et Elvire Teza, c’est au tour de Ludivine Furnon, aujourd’hui artiste de cirque, de revenir sur ses souvenirs de Jeux Olympiques.

Gym and News : Que représentait pour vous le fait de faire les Jeux Olympiques ?
Ludivine Furnon : Les JO, c’était la concrétisation de mon travail, de mes efforts, de ma volonté, de mes rêves… De tout ! Ça a été très rapide. J’ai commencé la gym à 12 ans. Je regardais les cassettes VHS. Je me souviens, je les regardais tous les jours ! C’était un rêve presque inaccessible, mais auquel je croyais. J’en avais tellement envie que j’ai travaillé très très fort. Je savais que la gymnastique, c’était quelque chose pour moi. J’ai découvert ça tard, mais je savais que je l’avais dans la peau. Du coup je m’y suis mise à fond et en 4 ans, j’ai progressé très vite.

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