Vous vous rappelez sûrement de Lucille Chalopin, une des meilleures GR individuelles françaises, de la génération de Kseniya Moustafaeva. Pensionnaire de l’INSEP dès 2010, elle a mis fin à sa carrière assez subitement en 2014. Désormais, c’est loin des praticables qu’elle s’épanouit, mais toujours de façon acrobatique. Avec émotion et nostalgie, elle a accepté de revenir sur sa carrière, sur ses choix, ses regrets et sa reconversion. Une occasion également de revenir sur le rapport au corps, sur la gestion du stress et le jugement des autres dans la gymnastique rythmique.
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