Pour entrer dans l’Histoire de la Gymnastique, il faut gagner des médailles. Mais laisser son nom dans l’Histoire du Code de Pointage y contribue également. Décryptage au cœur de la bible de la gymnastique artistique féminine.

Kaylia Nemour aux championnats du monde 2023, à Anvers. Photo Sarah Ladot

Une fois ou plusieurs fois, sur un agrès ou sur plusieurs agrès, une gymnaste peut laisser son nom dans le Code de pointage. Il faut bien sûr répondre à certains critères pour accéder à la postérité. Mais au-delà de ces critères, il y a aussi l’usage que l’on en fait, le temps qui passe. Le temps qui fait que l’on reste ou que l’on oublie.

En effet, pourquoi certains éléments en GAF portent encore le nom du créateur masculin, alors que d’autres non, pourquoi certaines figures sont décrites par le nom de la créatrice et d’autre non, pourquoi certains éléments ont été renommés à postériori et d’autre non, et pourquoi certains éléments que l’on croirait nommer du nom de la créatrice en fait n’a pas de nom dans le code de pointage ?

Quel est le cheminement pour donner son nom à un élément ? et est ce qu’il faut avoir son nom dans le Code de pointage pour être une gymnaste iconique ?

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