Il fallait remonter à l’année 1997 pour voir l’équipe de France féminine atteindre le Top 5 en finale d’un concours par équipes aux championnats du monde. Vingt-et-un an plus tard, Juliette Bossu, Marine Boyer, Louise Vanhille, Mélanie De Jesus Dos Santos et Lorette Charpy ont réussi à réaliser, à Doha, cet exploit réalisé quelques années plus tôt par leurs aînées, Cécile Canqueteau, Isabelle Severino, Elvire Teza, Emilie Volle, Ludivine Furnon et Magalie Ruffato.
Une nouvelle génération de gymnastes qui continuent sur sa lancée après avoir décroché l’argent aux championnats d’Europe de Glasgow en août dernier. Dans cette équipe, seule Coline Devillard, blessée à la cheville à la fin du mois de septembre, manquait.
À Doha, les cinq gymnastes ont une nouvelle fois montré de la belle gym. Solide, propre et élégante. Leur marque de fabrique. “Nous savons que nous n’avons pas les notes de départ les plus élevées, notamment au sol et au saut, mais on s’en tire grâce au travail artistique et de précision” , souligne Juliette Bossu, la barriste, avant de préciser : “Au saut, par exemple, il nous manquait 2 gros sauts alors un gros travail de précision a été effectué pour Louise et Marine et ça s’est révélé payant.”
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