Ancienne gymnaste de haut-niveau qui avait manqué les Jeux de Londres en raison d’une blessure à la cheville, Camille Coudret a disputé sa dernière compétition de gymnastique le 20 mai dernier, à l’issue des championnats de France d’Oyonnax qu’elle disputait avec son club d’Elancourt-Maurepas. Une page qui se tourne pour cette ancienne gloire de l’équipe de France. L’occasion pour elle de revenir sur les cinq faits les plus marquants de sa vie de gymnaste.
- Ma première qualification en équipe de France junior et surtout ma première dotation. Cela correspond à un aboutissement de tout un travail et surtout d’un début de carrière de gymnaste de haut niveau (malheureusement je n’ai pas pu participer à la compétition après car je me suis cassée le pied pendant la préparation).
- Les Test Event, une de mes meilleures expériences de ma carrière de gymnaste. C’était grandiose de matcher dans la salle des JO et ce fut une expérience incroyable. Mais également, ma blessure avant les Jeux Olympiques de Londres. Une des plus grande frustration et déception de ma carrière.
- Ma rupture du tendon d’Achille en 2013 (lors d’un entraînement au sol, NDLR) qui a signé l’arrêt de ma carrière de gymnaste de haut niveau.
- Mon année 2015 dans son intégralité avec mon club d’Elancourt Maurepas, qui a été une année gymniquement bonne. Entre une deuxième place en individuel, une première place aux barres et une deuxième place par équipe, ce fut une année riche en émotions. Très contente d’avoir réussi à revenir à un niveau assez convenable et de reprendre du plaisir sans faire du haut niveau.
- Ma dernière compétition avec mon club à Oyonnax en DN1. Un peu de nostalgie due à l’arrêt de ma carrière mais aussi une grande satisfaction d’être arrivée jusqu’ici.