Année 2017 : Zachari Hrimèche fait son bilan

Quatrième de la dernière revue d'effectifs nationale, Zachari Hrimèche fait son grand retour au sein du collectif France. Photo Cybile C. Photography

Les bilans se poursuivent en ce début d’année 2018. Après Oréane Lechenault, Edgar Boulet, Juliette Bossu, Kevin Dupuis, Chloé Le Rolland et Coline Devillard, c’est au tour de Zachari Hrimèche, champion de France en titre au concours général et membre de l’équipe de France senior, de revenir sur les 12 mois qui viennent de s’écouler. Pour rappel, tous les gymnastes répondent aux dix mêmes questions.

Gym and News : En trois mots, comment qualifierais-tu ton année 2017 ?
Zachari Hrimèche : Enrichissante, cool et belle.

Quel est ton meilleur souvenir de 2017 ?
Ma qualification en finale saut du championnat du Monde à Montréal.

Quel est ton moins bon / pire souvenir ?
Ma 4ème place au championnat d’Europe en Roumanie.

Ton souvenir le plus loufoque / original / fun ?
Pas un souvenir en particulier mais toutes les belles gamelles que j’ai pu voir dans la salle cette année (sans conséquences physique) sont des petits souvenirs marrants.

Quels ont été tes pépins physiques en 2017 ? Tes organismes ont-ils souffert ?
J’ai eu un tendon rompu au petit doigt, sinon rien de vraiment handicapant juste des petites douleurs par ci par là. C’était une année sans vraiment de pépin physique.

Quelle est ta plus grande fierté sur 2017 ?
Être rentré en finale du Championnat du monde au saut de cheval.

Quelle a été ta plus grande déception sur 2017 ?
Ma 4ème place au championnat d’Europe.

Toujours sur 2017, avec du recul, y-a-t-il quelque chose que tu aurais peut-être fait autrement ?
De temps en temps m’investir encore plus dans mes périodes d’entraînements.

As-tu un regret ?
Non.

Quels objectifs te fixes-tu pour l’année 2018 ?
Devenir un généraliste encore meilleur et faire partie d’une équipe de France montante sur la scène internationale. Et obtenir une médaille au saut de cheval sur le plan international (championnat d’Europe et du Monde).

Propos recueillis par Charlotte Laroche 

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